L’homme est un primate
Malgré la science qui couvre cette partie de la connaissance reste “nouvelle”, le chemin vers une connaissance fiable et correcte reste encore un défi pour les chercheurs de la préhistoire. Les arguments tournent toujours autour des hypothèses et des déductions méthodiques (rationnellement expliqués), mais, personne (de ces hommes de sciences) ne sait la réponse correcte car personne d’entre eux n’était présent durant la fameuse évolution de l’être humain. Pour en conclure – tous ça reste des explications bien rationalisées.
Selon les différences qui sont établies à l’intérieur d’une classe, on détermine les ordres. Ce sont par exemple, chez les mammifères, les proboscidiens (éléphants), les périssodactyles (chevaux), les lagomorphes (lapins). . .
L’homme fait partie de l’ordre des primates, mammifères qui, longtemps, évoluèrent dans les arbres ( !). Ce mode de vie les conduisit à aiguiser leur sens de la vue – au détriment de l’ouïe et à se doter de bras. Les articulations – se développèrent, la main put se tourner en tous sens et acquérir une grande dextérité. Les primates apprirent en outre à « manger de tout ». C’est un avantage évident : le risque de mourir de faim diminue en effet si l’on accepte tout ce que l’on trouve.
Il y a toutefois primate et primate. A l’intérieur d’un ordre, le naturaliste distingue en outre des sous-ordres. Les sous-ordres sont eux-mêmes divisés en familles, les familles en genres, et les genres en espèces. Les primates comprennent ces quatre sous-ordres :
Les Lémuriens, dont un certain nombre de représentants vivent encore à Madagascar ;
Les Tarsiens, dont il n’existe plus aujourd’hui sur la Terre qu’un seul genre : des insectivores aux moeurs nocturnes que l’on rencontre en Indonésie ;
Les Simiens, autrement dit, les singes ;
Les Hominiens, dont fut issu le genre Homo qui a donné le jour à l’actuelle espèce humaine.
Voici 30 millions d’années, Simiens et Hominiens avaient peut-être des comportements assez semblables. C’est alors qu’une profonde transformation climatique de la Terre entraîna la disparition de nombreuses forêts.
Les Simiens se comportèrent, en conservateurs : ils se réfugièrent dans les rares forêts ayant subsisté et n’évoluèrent pas. Les Hominiens, au contraire, s’élancèrent en pionniers à travers la savane. Ce choix les conduisit – pour repérer de plus loin leurs ennemis ou leurs proies – à adopter, d’abord épisodiquement, puis définitivement, la position « debout ».
Les Simiens se comportèrent, en conservateurs : ils se réfugièrent dans les rares forêts ayant subsisté et n’évoluèrent pas. Les Hominiens, au contraire, s’élancèrent en pionniers à travers la savane. Ce choix les conduisit – pour repérer de plus loin leurs ennemis ou leurs proies – à adopter, d’abord épisodiquement, puis définitivement, la position « debout ».
Il en reste des failles très vastes dans l’espace temps inexploitées, il est plus sage pour l’homme de patienter pour réfléchir que de donner des hypothèses type “raccourcis” : « l’homme ressemble au singe donc l’homme a l’origine est un singe ». Et si c’est le contraire qui était vrais? Voila une autre logique bien prête a l’exploitation méthodique des chercheurs.
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Un dernier mot
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